danytrav33

1^ère partie

Jeune j’avais aux alentours de 19 ans et quand j’allais à Paris passer quelques jours, je passais une bonne partie de mon temps à fréquenter les quartiers chauds de la capitale que ceux-ci soient les lieux des prostituées, des homosexuels et des travestis. Au fait, je dois dire que le bois de Boulogne ne m’a jamais attirée.

Au fur et à mesure de mes balades, mon terrain de prédilection devint celui des travestis à Pigalle essentiellement et le soir surtout. Je parcourrai les rues pendant des heures les guettant et les admirant. Souvent je me faisais racoler ; mais je faisais mon choix. A ces hommes-femmes j’ai laissé pas mal d’argent…

Je suis montée avec des blanches, des noires, des sud-américaines et je passais un bon moment avec chacune, nous discutions de choses et d’autres. Elles me suçaient, je les suçais aussi et je les baisais ; de temps en temps elles me baisaient également. A cette époque c’était sans capote et certaines admiraient les doses de jus que j’offrais. Puis à un moment j’avais ma régulière, qui, m’avait passé son numéro de téléphone. Donc très facile pour moi de pouvoir venir la baiser selon mes possibilités. Nous passions de bons moments ensemble car j’apportais toujours quelques chose à manger et à boire. Je devenais son privilégié en quelque sorte.

Quelques fois Béa (son prénom) me disait de rester chez elle le temps qu’elle aille gagner sa vie… a son retour elle me racontait ses activités ave deux ou trois mecs qui lui avaient donné de beaux billets.

Nous terminions la soirée dans son lit et nous nous amusions à imaginer nos avenirs.  A un moment elle me demanda ce que je comptais faire dans la vie à venir. Je restais assez évasif sur un projet de partir à l’étranger qui était sur le point de se concrétiser.

Tu sais pourquoi je te demande cela…

Non pas du tout

Pour être franche avec toi, je dois dire que tu me plais beaucoup, j’aimerai te transformer comme moi et nous pourrions travailler ensemble sur le trottoir.

Bea s’aperçut de la subite érection que je ne pouvais cacher.

Ma proposition te donne autant de joie d’être.

Oui….je suis très étonné de ta question en effet.

Tu as un beau corps, avec de belles petites tétines, tu es assez peu poilu, je peux faire de toi une belle petite pute, coiffée à la garçonne au début le temps que tes cheveux poussent et que l’on pourra teindre. Quelques piqures d’hormones pour avoir une petite poitrine. Tiens regarde toi avec une perruque, Béa me posant cette perruque blonde. Ton cul bien travaillé pour accepter les diverses queues qui te cracheront leur jus bien au fond, à moins que tu avales car il faudra…tiens, au fait tu vas essayer avec ma queue,  allez vas-y suces-moi bien.

Me voilà donc avec un chibre en bouche et je m’amuse avec la langue à le faire raidir.

Putain…tu t’y prends come une pro !!!

Je continue à jouer avec la queue de Béa. Je commençais à sentir des frémissements de plaisir quand Béa s’enfonce bien au fond et gicle son foutre. Un goût salé et une crème m’envahissent la bouche. Béa me tient la tête et je me vois dans l’obligation d’avaler. Finalement, ce n’est pas si mauvais que je le pensais…Dommage qu’il y en ait pas plus… !!

Je bande de plus en plus et Béa me dit qu’il faudra calmer cela…

Bon c’est bien tentant tout cela mais c’est une décision qui doit être prise à tête reposée et je demande un certain temps de réflexion car comme j’ai dit j’ai un projet de partir à l’étranger pour un temps indéterminé, le visa est bientôt prêt et je ne veux pas le perdre.

Oui je te comprends bien, c’est à toi de décider.

Sur ces paroles nous nous quittons après un baiser fougueux.

La nuit fut difficile, je me tournais et retournais dans le lit, je ne sais que faire. La proposition de Béa devenait envahissante dans mon esprit. Je m’imaginais déjà totalement transformée, des seins, un appareil de reproduction réduit à sa seule utilisation : uriner ; mes cheveux longs teints châtain clair. Mes vêtements : une minijupe bien courte, le reste des attributs bien remontés entre les cuisses, un cul élargi avec un gode important. Un corsage bien échancré, pas de soutien-gorge, une culotte toute fine et pouvant être arrachée. Béa me regarde e s’occupe de me maquillée. Ouah, je ne peux me reconnaître, un regard de pute. Un visage outrageusement peinturluré. Une pute, une salope, je suis une pute mes dis-je.

Le réveil sonne…La réalité est toute autre.

Deux jours passent sans aller voir Béa .

Convoqué au consulat qui émet les visas, j’y passe une bonne heure et je prends finalement ma décision ; je vais partir malgré cette envie d’être qui me titille.

Je passe plusieurs soirs chez Béa à qui je rends compte de ma décision. Toute triste mais très compréhensible de mon choix. Elle aussi m’annonce une nouvelle importante quant à son physique.

Se sentant vraiment femme et vivant comme tel, Béa a pris une décision  qui ne me surprend pas. Béa va donc quitter le trottoir, va subir tous les examens pour entamer le processus de pénectomie. Long calvaire qui la mènera à l’état d’une presque femme.

Béa regrette mon départ pour un pays lointain, mais ayant son adresse j’étais en mesure de suivre son évolution et elle la mienne.

Et voilà la « séparation », ce fut des larmes et des caresses tout au long de cette dernière soirée sous la couette ; sans oublier nos jeux favoris. La nuit fut torride.